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Welcome in My Mind....

17 septembre 2009

Summertime.

J'adore ces moments, la nuit est magnifique, la fraicheur me transperce et mon esprit divagues doucement... A t'ont besoin d'autres choses que son imagination pour voyager ? Je le pense oui, et comme tout les soirs depuis ces derniers mois, ils m'accompagnent.
Mes rêves s'entrechoquent, je ne sais plus où donner de la tête, un nouveaux départ certainement . Mais je le sent, je ne suis pas encore moi même . Ma confiance en l'être humain disparait peu à peu, mais le rêve, ce putain de rêve est toujours là.
Un regard, une pensée, un toucher, le rêve est aidée par dizaine de complément ridicule a première vue. Et pourtant, et pourtant je le sent encore en moi, lorsque le soleil se lève doucement et que la brise caresse mon visage, lorsque je m'allonge sur l'herbe pour observer les étoiles et lorsque...
Je me demande encore et toujours pourquoi les personnes ont besoins de se créer un personnage ? La chose la plus simple n'est elle pas d'être soi même ? Sommes arriver à un point où la réalité devient une fiction ? Je n'y suis pas encore arriver. Ma réalité est présente pour être partagé, et mes rêves n'appartiennent qu'à moi même.
Ma tête tourne, mes mains tremblent, mais je me sent bien, je voyage, seul dans des pensées. Et si le monde changeait ? Et si je devenais comme cela ? Et si l'on partageait mon rêvé ?
C'est étonnant comme dans ces moment tout nous parait des signes, et comme on peut s'imaginer d'étrange chose.
Et si je me mettait a la guitare ? Et si je chantait ? Et si tout mes textes étaient partager et deviendrait limpide pour tout le monde ?
L'utopie, encore et toujours elle, notre boulet que l'on traine durant notre enfance, adolescence. La chose contre laquelle, le fait se battre, devient une hérésie pour l'homme.
Arrêter de vous poser des questions lorsque vous aimez, qui que se soit, posez vous des question sur l'homme, sur vos actions, votre liberté, mais plus sur l'amour, si l'homme n'idéalisait pas l'amour tout en le diabolisant, il deviendrait enfin ce que tout le monde recherche, un Homme heureux...

Mon corps tangue sous les sons, et se noie dans l'océan des rêves, encore une fois...heureusement.

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11 septembre 2009

Les dansseuses...

Quel plaisir de revenir ici en sachant( d'après l'historique ), qu'il n'y a plus personne venant faire un tour sur ce blog. Quel intérêt d'écrire alors ?
Je me le demande un peu encore, mais j'ai surtout l'impression de me redécouvrir a chaque fois que je m'aventure ici. Chaque ticket est une façon de voir a tels point nous pouvons évoluer rapidement. Et aucun crash de mon pc, mon disque dur ne peut faire disparaitre ce qui est écris ici...
Bonjour septembre. . .

5 septembre 2008

Tout est ecrit

Je suis amoureux, il était 18h30, place de la république, comme a mon habitude je laisse souvent traîner mes oreilles dans la rue, pour écouter les passants, un homme s’écrit : " Mais elle est folle d’être amoureuse comme ça " . Oui il faut être fou. Je suis amoureux de l’autodestruction. Je pensait être le seule, que personne me comprendrai, et puis une personne m’a avoué avoir les mêmes sentiments, la même sensation étrange .

Être attiré par l’autodestruction, pour se sentir exister vis-à-vis de soit même.

Pour la majorité des gens être déprimé signifie être déprimé sur sa vie, sur ce qui nous arrive. Mais ne comprenne t’il pas ? Si je me sent très souvent mal, c’est seulement car je déteste qui je suis, je me haie au plus au point . Et tout ce qui pourrais m’apporter du bonheur, et me servirait a me reconsidéré un minimum, je le fuie.

Être heureux au final cela ne rime a rien, seulement qu’un jour ou l’autre on va certainement retomber sur terre, souffrir avoir mal, alors on préfère rester dans le mal, on se sent a l’abri, rien ne peut nous faire trébucher lorsque l’on est déjà à terre. Si tout ce passe parfaitement, l’impression de ne pas prendre le bon chemins me vient, peur de prendre ce risque, que l’on sait très bien éphémère.

Cette philosophie est difficilement compréhensible par 98% des gens, avec leurs phrases ridicules" il y a pire que toi dans la vie " . Et alors, je ne parle pas de ça, oui il y a pire, mais n’y a-t-il pas pire chose que de se haïr au plus haut point ? N’y a-t-il pas pire chose de refuser d’être heureux ? De se complaire la dedans ? Je sais que j’ai de la chance, mais rien ne peut m’empêcher de me détester rien ni personne .

Je recherche les choses et même les personnes qui je sait vont pertinemment me rendre malheureux, des fois je me trompe, il me rende heureux, je suis bien, alors tout me semble anormale, je les fuis, je les hais . Et puis il y a ceux vers qui l’ont va pour être malheureux,et qui nous donne l’espoir d’être heureux. L’espoir…quel mot dégueulasse, car ce qu’il y a de pire qu’être heureux, c’est d’avoir l’espoir de l’être. Je le fuie tellement, alors quand il me prend au dépourvu, je m’en veut de ne pas avoir fait attention.

Je sais pertinemment comment je suis, ce qui va m’arriver, comment je vais réussir a ne pas atteindre ce point de non retour, depuis tout petit, je sais déjà tout . La plupart se sont réalisés. Je n’étais jamais arrivé a l’écrire, et puis elle est arrivé et m’a avouer ressentir la même chose, je me sent moins seul, toujours étrangers a ce monde, mais plus le seul étranger.

14 avril 2008

Afraid by ...

Merde…. Le mot est juste, déjà tant longtemps que je n'est pas écrit un ticket… Il m'a fallu réécouter Golden Brown pour me rappeler cette sensation de solitude, seul le soir chez moi. Car si je n'est pas écrit, c'est que je ne m'était pas retrouvé seul un soir aussi tard depuis longtemps. J'ai envie de marcher, marcher et ne plus m'arrêter, marcher le casque vissé sur les oreilles. Mais je n'est pas la force. Je n'est jamais la force d'aller au bout de ce que j'entreprends. J'ai peur, peur de tout, la peur me tétanise, on peut prendre ça pour du dédain envers les gens, les projets, l'avenir, moi même….Et pourtant c'est tout le contraire, je suis anxieux, je m'inquiète d'un rien.
De ce fait, j'aimerais dire que cela est mon dernière article, mais j'ai la peur que ce ne le soit pas… Je prend un réel plaisir a écrire pour moi même a présent, et ce blog ressemble de plus en plus a de l'exhibitionnisme primaire...

Et si ?

11 mars 2008

They cheat. . .

gainsbourg22h42, le temps s'est adoucis, et pourtant je ne le ressent pas.  The decemberist retentit dans ma tête comme RadioHead l'avait fait il y a de ça quelques semaines. Je ne peut pas marcher ce soir, la route reste pourtant la même, et je me lasse de la prendre. . . Je m'y perd encore et pourtant j'y connais chaque recoins comme si je l'avais arpenté des dizaines de fois auparavant. En fait on ne peut pas s'empêcher de retomber dans ces vieux démons. Je m'était encore une fois promit de ne plus écrire dans ce blog, mais je n'est pas envie de tenir cette promesse. Les promesses ne sont pas faites pour moi, je ne les tient pas. Que dire qu'a part ces derniers temps j'ai l'impression de revivre mon début d'année.
Je rallume cette cigarette et décide de mettre "anyone else but you" et cette fois tout me semble différend. C'est étrange comme une scène de film paraissant anodine au premier abord, peut transmettre autant de sentiment a la fois. La voix d'Ellen Page retentit dans mes écouteurs, et cette chanson prend tout d'un coup un sens thérapeutique. Je me rend surtout compte que ces derniers temps j'ai beaux avoir été mélancolique, j'ai évité cette déprime, l'espoir empêche la déprime .
Je me rend également compte que je rêve de plus en plus, au final nos rêves ne sont que notre subconscient, et mon subconscient veut souvent ce qui est inaccessible et irréalisable. Je suis conscient de ce que je peut et ne peut pas faire, mais l'espoir de reprendre une nouvelle route me fait continuer a avancer . Et puis si je commençais a perdre espoir en tout , je n'aurais plus la force de croire en mon avenir professionnel, en la musique. . .
J'ai réfléchit a une chose tout a l'heure, doit on fixer ces priorités sur celle des autres ? Les gens me disent souvent " mais il y a des choses plus importantes dans la vie", au final sommes nous obliger de mettre des priorité au chose ennuyante, contraignante, pour oublier toutes celles enivrantes et les mettre au second plan ? Désolé, mais je suis un rêveur, et ce ne sont qu'eux qui me dictent mes priorités, non pas tout ces contrainte a qui l'on essaye de donner de l'importance, comme si cela était une obligation…
Je vais m'endormir, essayer d'oublier tout ce qui m'entoure, pour me concentrer sur mes rêves, accompagné de "The Legionnaire's Lament"

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2 mars 2008

Marche, mais ne sait pas où tu vas...

awakening22Marcher, continuer a marcher, ne pas regarder en arrière, et puis le faire quand même. Mettre "Golden Brown" des Stranglers, planer, regarder les fenêtre éteinte, regarder celle allumé, se demander ce qui se passe dedans, et puis continuer son chemin. Observer cette ligne droite, ne pas vouloir qu'elle s'arrête, mais tout a une fin, même les choses les meilleurs. Elles ne s'arrête jamais quand on le veut, on le subit.
On décide de tourner alors, et puis la rue n'est pas la même, on se sent différend, repartir en arrière, il n'est jamais bon de revenir en arrière et pourtant on le fait tous. On ne sait pas ce qui nous y pousse mais notre subconscient nous dicte le chemins. Golden Brown s'arrête, le remettre, revivre les mêmes choses, ne pas se demander si elles sont bonne ou non. Continuer son chemins, revoir les mêmes lieux, penser a d'autres, s'efforcer de ne pas en vouloir a des personnes, ne pas regarder en arrière encore une fois, mais on le fait, on se retourne, on a des regrets, mais on se dit que l'on en est pas responsable. Se demander pourquoi, attendre des réponses, ne pas les avoirs, continuer a marcher, en les oubliant. Et puis voire un couples, ne pas les enviés, juste les observer, les voire heureux, tout les deux, et puis ils disparaissent dans la nuit.
Mettre Creep de Radiohead, continuer a planer, repasser devant des lieux, ne pas s'y arrêter, se persuader que notre subconscient nous joue  un tour, et puis un chat me regarde, il est noir, il va a gauche, deux voiture arrive je m'arrête, les laisses passer, il a disparu…
Comme ce chien l'autre fois, je marchais, il me regarde, s'arrête, m'aboie dessus, mais pas de façon méchante, le contraire, j'enlève mon casque le regarde, il part doucement dans une autre rue, le clocher sonne, la pleine lune se découvre, je me trouvais au beaux milieux de la rue sans m'en rendre compte. Une voiture arrive a vive allure dans le noirs derrière moi, je l'entend, je peut me décaler a temps. Je ne sais pas pourquoi mais je ne pense pas au hasard, rien n'est hasard.

Je continue ma route, Creep s'arrête, la remettre, reprendre la route, et puis repenser encore a ceux qui ne nous donne pas de raisons, se dire que l'on est pareil, mais leurs en vouloir. S'efforcer a penser a ça pour oublier les choses plus graves, garder cette carapaces qui nous empêche de souffrir de cela. Je me la suis forger il y a longtemps. Personne n'en connaît les causes, s'en était le but. Ne pas arriver a penser a la douleurs des autres, a part des gens que l'on aime, et puis continuer.
Rentrer chez soit, s'asseoir sur sa chaise, soufflé, continuer a penser, s'efforcer de ne pas penser a ça, mais ne pas pouvoir s'y empêcher…

26 février 2008

If i had a million ?

mylunchDeux jours de suite que j'écris, la solitude me  gagne je crois.
J'avais jamais vécu  le fait de me faire quitter, normalement c'était moi qui jouait le rôle du mec qui disait non après la soirée, ou qui quittait la fille. Mais quel claque en peu de temps, j'en est toujours eu peur de cette situation. Alors oui j'ai eu des rêves qui se sont mal terminer, ce qui maintenant me force a ne plus y croire. Mais quand l'on rentre dans le concret, c'est encore plus difficile a accepter.

Il y a une part de fierté la dedans, c'est dur de se l'avouer, puis de se rendre compte que l'on est plus maître de ces sentiments. Mais le plus dur je crois dans certains cas , c'est l'après, on a beau ne plus rien ressentir pour la personne, il reste cette jalousie ambiante qui nous fait dire " je ne te veut plus, mais je veut que personne ne t'est".Cela est affreux je crois, car on ne peut pas empêcher cette sensation désagréable d'être profondément égoïste. C'est a ces moments que l'on regrette d'avoir une imagination aussi débordante, qui nous force a mettre en place des scènes des plus désagréables.

Et puis il y a la confiance en soit qui prend un coup ces derniers jours, ça faisait un moment que je n'en parlait plus car j'essayai de la mettre au second plan, mais je n'y arrive pas. Cette absence est toujours présente, et elle me bouffe de plus en plus. Elle m'empêche vraiment de réaliser mes rêves. Je n'en veut pas au fautif, car ce n'est pas de leurs fautes, tout le monde se relèvent de ces échecs, moi je ne peut pas. Déjà que n'était pas très entreprenant, mais alors maintenant je vais atteindre le paroxysme la non-attitude. Ce n'est peut être pas mauvais en soit, je verrais bien, l'avenir me le dira assez vite, même si le passé ne m'a pas conforté dans le fait d'être serein…

Aujourd'hui j'ai vu ma batterie, je ne peut plus vivre une journée sans, elle est ma drogue(dixit la cigarette) Je ne lui en veut pas de me frustrer, car j'ai l'espoir que cela change. C'est cette espoir qui me fait tant l'aimer. Et puis ces questions d'avenir, de bac m'obsède tellement qu'elle me permet de m'alléger.
Je ne suis pas triste ce soir, je suis déçu de mes rêves, de mes attentes, de mes espoirs, je n'ai plus la foie en certaine chose. Mais je crois toujours au signe de la vie, je crois encore a tout ce que les gens peuvent  qualifier de "futile"…Mais ils ne m'empêche pas d'avoir cette sensation de déceptions, un "elle" remplace un "elle", un rêve remplace un rêve, un doute remplace un doute. J'ai besoins de tout ça je crois, je ne me pleins pas car je le veut, j'en fait juste le constat…

Il était 11h11, 15h15, 18h18, 20h20, 22h22, 02h02 Pour reprendre la phrase d'un ami "Et si ? ….Non ne rêve pas". Mais rêver est ce qu'il y a de plus beau. . .

25 février 2008

It's too late....

twm2Il est 2h du matin. C'est étrange comme les choses nous paraissent différente passé une certaine heure. On a plus du tout la même perception, les mêmes sentiments. En plus je n'arrive pas a dormir, c'est affreux. Je me dit que demain je verrais ma batterie, qu'elle me remontera le moral, qu'elle sera là…Elle.
Rien ne marche comme je le voudrait, j'ai l'impression qu'un certain cycle s'installe. Il y a celui des espoirs, on y croit, tout semble pouvoir nous sourire pour une fois, accompagné de cette étrange sensation d'éphémère. Et puis elle se suit de l'habituelle déception, trop de déceptions, trop de désillusions. Pourtant on ne peut pas me reprocher de me faire des films, je fait partie de ce qu'il y a de plus défaitiste, je ne part jamais gagnant dans tout ce que j'entreprends. Je me persuade que cela me permettra de mieux appréhender la chute, et bien non, elle reste aussi douloureuse.

Je crois en tout les signes qui peuvent se manifester, c'est peut être eux qui me font subir une chute aussi brutal, ils me mentent rarement pourtant, pour ne dire jamais. Je n'y crois pas pour le plaisir d'avoir l'espoir, je crois au choses en quoi j'ai la réelle impression qu'elles sont réelle.
Tellement de signes se manifestent ces derniers temps, et ils sont pour la plupart d'une cohérence a me faire peur moi même. Je n'est pas l'impression de m'y réfugier dedans, je les subit seulement.

En fait je crois qu'a cette heure ci les réel sentiment sur ceux qui m'entourent ressorte. La fatigue certainement. Je me rend compte comment certaines personnes jouent avec moi, me mentent, croyant que je suis aussi naïf qu'un enfant de 10 ans. Si ils savaient ce que je pense sur eux…Je n'est pas envie de leurs dirent, un jour ou l'autre ce qui devra arriver arrivera, tant pis pour eux, j'aurais pourtant essayé de les prévenir…Je ne leur en veut pas plus que ça, l'avenir les punira assez, ce n'est pas mon rôle.
Qu'est ce que j'ai l'air d'un mec chiant et prise de tête à travers ce blog, heureusement que seules les gens qui me connaissent réellement en font la lecture, car je passerais pour ce que je ne suis pas. Il ne faut pas oublier que j'écris dans mes moments de pires doutes, et à des heures tardive.
Justement, il ne me reste plus de cigarette, il est temps pour moi d'aller dans mon lit, je vais essayer de rêver, mais ce soir plus aucun rêve n'a de la valeurs, il y a encore la musique, des deux "elle", c'est la seule qui ne me déçoit jamais… Si seulement il n'y avait que les ridicules "elle" qui me décevaient…

Il était 11h11, 17h17, 18h18, 21h21, 01h01. . .

21 février 2008

Yesterday...

twm300h30, c'est rarement bon signe quand je commence a fumer un paquet par jour et écrire souvent sur ce blog. Cela m'arrive peu souvent, mais quand il y a des moments comme cela, je n'essaye même pas de les repousser.  Je les entretiens même avec du Led zepp et du Doors, je doit être maso. A moins que j'aime être comme ça.  La semaine prochaine je me retrouve seul chez moi, j'ai si hâte… . La solitude…j'en est terriblement peur et pourtant je commence de plus en plus l'aimer. J'y prend tellement goûts que je m'en fait peur.
C'est étrange comme mon années de mes 18ans va me rester dans mon esprits. Je n'est rien réussie entre déception sentimentale a la pelle, les personnes qui me déçoive de plus en plus et les échecs que je rencontre dans tout ce que j'entreprends, je ne sait plus ou mettre de la tête. Pourtant je ne devrai pas me plaindre, mais j'ai la fâcheuse tendance a donner de l'importance au chose de la vie qui devrait être insignifiante. Des qu'une chose dite "grave" m'arrive, elle ne m'atteint plus, et c'est une des facettes de moi même que je ne comprendrai jamais.
C'est dur de prendre conscience comment les gens sont réellement. Dès que l'on commence à les cerner et se rendre compte de qui ils sont, cela peut devenir très dur. Mais je n'arrive pas a les détester, je ne leurs en veut pas d'agir comme cela avec moi. Je ne sais pas d'où vient cette capacité a accepter que l'on me fasse du mal.
Mon dieux que ce blog me frustre, je ne peut pas parler de chose personnel, j'ai pourtant tenue pendant longtemps un journal intime, mais allez savoir pour quelle raison, écrire dedans de ne me soulageait pas. C'est pourtant seulement le fait d'écrire qui me détend, mais j'en avait peur de ce journal, il contenait trop de souvenirs que je voulais oublier, je ne sais même plus ou je l'est mit, c'est peut être mieux comme ça. . .A moi de trouver le courage d'en réouvrir un.
"Starway to Heaven"… Cette chanson est vraiment envoûtante, ma mélancolie progresse à son rythme, je n'est jamais la mélancolie suicidaires( Dieux m'en garde), mais elle peut être nostalgique, et plus la chanson progresse, plus la mélancolie me devient agréable. Je devrais peut être mettre Alex Turner ce soir….Et puis non, autant continuer sur cette lancé.
A la relecture de ce ticket je donne l'impression d'une personne totalement déprimé, c'est pourtant totalement faux. Je ne suis pas malheureux, je me l'interdit…Je suis juste un éternel rêveur.

20 février 2008

My Little Underground

twm00h05. Je suis mélancolique a souhait ce soir, mais que c'est bon… Pas le mélancolique qui écoute du Coldplay ou Led Zepp, plutôt celui qui écoute du Arctic Monkey et du Wombats. J'aime me retrouver seul dans ces moments, j'ai donc décider de passer l'après midi avec elle.
Elle me frustre au plus au point mais je l'aime plus que tout, ma batterie bien entendue, seul avec elle. Et puis dès qu'elle me lassait, je m'asseyait dehors, accompagné de "ni dieux, ni maître", Interpol et une cigarette. Avec la même impression que mes 40min près de la Saône. La plénitude, la vraie. .

J'appréciais ce moment où je pensais a plein de choses, elles pouvaient me mettre mal à l'aise mais ce fut tout le contraire. Mon coté rêveur se disputerais t'il avec mon coté fataliste? Je ne sais pas trop. C'est sur, le fait que je sois constamment défaitiste me permet de ne pas passer de l'autre coté, mais il n'empêche pas mes rêve, en fait mon contact avec la réalité est emprunt de défaitiste et de fatalisme, mais je m'échappe si souvent dans mes rêve, que cela me permet de mieux l'appréhendé.
Cette année 2008 est réellement un concentré de défaite personnel, je n'en revient pas moi même, rien ne me réussie, et pourtant je n'est jamais été aussi peu déprimé que ce début d'années. j'adore la mélancolie qui m'entoure, j'y prend vraiment goût, et puis la musique me sauve constamment de la ridicule déprime genre " ados mal dans sa peau". Non je n'est jamais de pensée noir, j'assimile plutôt ma mélancolique au doux rêves de l'impossible. . .

Il était 11h11, 22h22, 23h23. . .
Il est temps pour moi d'aller rêver…

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